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Nouvelles

Theratechnologies annonce ses résultats financiers pour l’exercice 2017

Fév. 07, 2018

Faits saillants financiers de l’exercice 2017

  • Revenus tirés des ventes nettes records de 42,8 millions de dollars, en hausse de 16 % en regard de l’exercice précédent.
  • Calculées en dollars américains, les ventes nettes du quatrième trimestre ont augmenté de 28 %.
  • Importants investissements effectués en prévision du lancement de TrogarzoMC (ibalizumab), entraînant un BAIIA ajusté négatif de 6,9 millions de dollars1.
  • Solide situation de trésorerie de 32,9 millions de dollars.

1 Voir ci-après la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS ».

« Nous avons de nouveau connu une forte croissance des ventes nettes d’EGRIFTAMD au cours du dernier exercice en raison, entre autre, à notre décision d’accroître notre équipe de vente en prévision du lancement de TrogarzoMC aux États-Unis. Cet investissement ainsi que d’autres effectués en 2017 devraient se faire sentir encore davantage une fois que les patients pourront se procurer TrogarzoMC aux États-Unis. Nous sommes fiers de ce que nous avons accompli jusqu’à maintenant et nous envisageons l’avenir de la Société avec optimisme », a déclaré M. Luc Tanguay, président et chef de la direction de Theratechnologies inc.

Résultats financiers de l’exercice 2017

Les résultats financiers présentés dans le présent communiqué de presse sont tirés du rapport de gestion et des états financiers consolidés audités de la Société pour la période de 12 mois close le 30 novembre 2017, lesquels ont été établis conformément aux Normes internationales d’information financière (les International Financial Reporting Standards, ou « IFRS »), publiées par l’International Accounting Standards Board (l’« IASB »). Le rapport de gestion et les états financiers consolidés audités sont disponibles au www.sedar.com et au www.theratech.com. Sauf indication contraire, tous les montants figurant dans le présent communiqué de presse sont présentés en dollars canadiens et les termes clés ont le sens qui leur est attribué dans notre rapport de gestion. Aux fins de la présente, EGRIFTAMD renvoie à la tésamoréline, utilisée pour la réduction de l’excès de graisse abdominale chez les patients infectés par le VIH et atteints de lipodystrophie. EGRIFTAMD est notre marque de commerce.

Période de 12 mois close le 30 novembre 2017

Les revenus consolidés ont atteint 42 864 000 $ pour la période de 12 mois close le 30 novembre 2017, en regard de 37 072 000 $ pour l’exercice 2016.

Les revenus tirés des ventes nettes ont augmenté de 16 % en 2017 grâce à des volumes unitaires et à des prix plus élevés, partiellement contrebalancés par les variations des cours de change et la baisse du prix de vente net moyen, lequel est tributaire du changement quant à la proportion des payeurs privés par opposition aux régimes publics de remboursement des médicaments.

Le coût des ventes s’est établi à 10 273 000 $ pour la période de 12 mois close le 30 novembre 2017, comparativement à 6 658 000 $ pour l’exercice 2016. Ces montants comprennent le coût des produits vendus de 4 991 000 $ pour l’exercice 2017, contre 4 314 000 $ pour l’exercice 2016. L’augmentation du coût des produits vendus est attribuable à la hausse des ventes en 2017.

Le coût des ventes pour l’exercice 2017 tient compte de redevances de 3 986 000 $, comparativement à 2 430 000 $ pour l'exercice 2016. Des redevances doivent être payées sur les ventes d’EGRIFTAMD depuis le 1er janvier 2016 aux termes de la convention conclue avec EMD Serono Inc. Le pourcentage de redevance varie en fonction du volume des ventes (se reporter à la rubrique « Obligations contractuelles – Convention de résiliation de licence d’EMD Serono » ci-après). La hausse des redevances pour l’exercice découle de la croissance du volume des ventes en 2017 et de l’augmentation du taux de redevances pondéré en regard de 2016.

Pour l’exercice 2017, le coût des ventes tient compte également d’autres coûts liés à la production de 1 296 000 $, découlant principalement de la dépréciation des stocks par suite des pertes subies lors de la transformation de matières premières en produits finis et des pertes liées aux produits périmés. Pour l’exercice 2016, un recouvrement de coûts de production non attribués de 86 000 $ avait été comptabilisé.

Les frais de recherche et de développement, déduction faite des crédits d’impôt, se sont chiffrés à 11 856 000 $ pour la période de 12 mois close le 30 novembre 2017, comparativement à 6 955 000 $ pour l’exercice 2016. La hausse des charges pour l’exercice 2017 est attribuable aux effectifs ajoutés aux équipes de liaison avec le milieu médical et d’éducation médicale sur le terrain, dont la tâche consiste à accroître la sensibilisation à la question de l’excès de gras abdominal chez les patients infectés par le VIH et atteints de lipodystrophie ainsi qu’aux infections par le HIV-1 multirésistantes. Parmi les autres mesures ayant donné lieu à la hausse des coûts en 2017, il convient de noter la hausse de la participation à des symposiums, les consultations réglementaires pour l’ibalizumab en Europe et l’élaboration de la nouvelle formulation F4 d’EGRIFTAMD.

Les frais de R&D comprennent également les coûts associés à nos deux essais cliniques de phase IV, qui se sont élevés à 2 427 000 $ pour l’exercice 2017, comparativement à 2 341 000 $ pour l’exercice 2016. Les affaires réglementaires et les activités liées à l’assurance de la qualité représentent d’autres composantes des frais de R&D.

Les frais de vente et de développement des marchés ont atteint 26 017 000 $ pour la période de 12 mois close le 30 novembre 2017, contre 14 658 000 $ pour l’exercice 2016.

La hausse d’un exercice à l’autre reflète essentiellement la croissance de nos activités et les efforts de commercialisation soutenus. Plus particulièrement, les chiffres de l’exercice 2017 comprennent les coûts liés à l’accroissement de notre équipe de vente aux États-Unis afin d’être prêts pour le lancement éventuel de l’ibalizumab et de couvrir un plus grand territoire tant pour l’EGRIFTAMD que l’ibalizumab aux États-Unis. Nous avons également ajouté des effectifs à nos groupes de soins intégrés et du centre d’appel en 2017. Parmi les autres projets ayant entraîné la hausse d’un exercice à l’autre, on compte les travaux préparatoires liés à nos campagnes visant l’ibalizumab de marque ou sans marque et l’élaboration d’une stratégie de prix pour l’ibalizumab aux États-Unis.

Les frais de vente et de développement des marchés comprennent l’amortissement de la valeur des immobilisations incorporelles établie pour les droits de commercialisation d’EGRIFTAMD. Cette charge d’amortissement s’est chiffrée à 1 968 000 $ pour l’exercice 2017, comparativement à 2 007 000 $ pour l’exercice 2016.

Les frais généraux et administratifs ont totalisé 5 816 000 $ pour la période de 12 mois close le 30 novembre 2017, comparativement à 4 863 000 $ pour l’exercice 2016. L’augmentation des frais généraux et administratifs en 2017 est essentiellement attribuable à la croissance et à l’expansion de notre entreprise.

Les produits financiers, composés de produits d’intérêts, se sont établis à 338 000 $ pour la période de 12 mois close le 30 novembre 2017, comparativement à 104 000 $ pour l’exercice 2016, en raison de la hausse des soldes de trésorerie en 2017.

Des charges financières de 7 690 000 $ ont été inscrites pour la période de 12 mois close le 30 novembre 2017, comparativement à 2 993 000 $ pour l’exercice 2016. Les charges financières inscrites pour l’exercice 2017 rendent compte d’une perte de 6 654 000 $ liée à la juste valeur du passif au titre des bons de souscription, comparativement à une perte de 1 046 000 $ pour l’exercice 2016. La charge de désactualisation au titre de l’obligation à long terme s’est chiffrée à 1 371 000 $ pour l’exercice 2017, contre 1 930 000 $ pour l’exercice 2016, ce qui rend compte de la baisse du solde moyen en cours pendant l’exercice.

Le BAIIA ajusté pour la période de 12 mois close le 30 novembre 2017 s’est établi à (6 947 000) $, comparativement à 6 573 000 $ pour l’exercice 2016. Comme il est indiqué ci-dessus, la baisse des flux de trésorerie générés par nos activités avait été anticipée et découle principalement de l’importante expansion de notre équipe de vente et de marketing aux États-Unis, aux termes de laquelle nous avons ajouté des effectifs à nos équipes de liaison avec le milieu médical et d’éducation médicale sur le terrain, ainsi que des charges supplémentaires occasionnées par la commercialisation de l’ibalizumab aux États-Unis et en Europe. Se reporter à la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS » ci-après.

Compte tenu des variations des revenus et des charges dont il est question ci-dessus, et tout particulièrement de la charge hors trésorerie de 6 654 000 $ liée à la juste valeur des bons de souscription en circulation et des investissements prévus en R&D ainsi que dans la vente et le développement des marchés, nous avons inscrit une perte nette de 18 450 000 $, ou 0,25 $ par action, pour la période de 12 mois close le 30 novembre 2017, en comparaison d’un bénéfice net de 410 000 $, ou 0,01 $ par action (0,01 $ par action après dilution), pour l’exercice 2016.

Résultats financiers du quatrième trimestre de 2017

Les revenus consolidés se sont chiffrés à 12 596 000 $ pour le trimestre clos le 30 novembre 2017, en regard de 10 377 000 $ pour la période correspondante de 2016.

Les revenus tirés des ventes nettes ont atteint 12 595 000 $ pour le trimestre clos le 30 novembre 2017, contre 10 376 000 $ pour la période correspondante de l’exercice 2016. Cette hausse de 21 % est attribuable aux hausses des volumes unitaires et des prix. En dollars américains, la hausse des revenus a été de 28 %.

Le coût des ventes s’est établi à 3 523 000 $ pour le trimestre clos le 30 novembre 2017, comparativement à 1 978 000 $ pour la période correspondante de l’exercice 2016. Le coût des ventes pour le quatrième trimestre de l’exercice 2017 tient compte de la hausse du volume de ventes et comprend une charge au titre des redevances de 1 106 000 $, en comparaison de 757 000 $ pour la période correspondante de 2016. Pour l’exercice 2017, le coût des ventes tient compte également d’autres coûts liés à la production de 1 024 000 $, découlant principalement de la dépréciation des stocks par suite des pertes subies lors de la transformation de matières premières en produits finis et des pertes liées aux produits périmés.

Les frais de recherche et de développement, déduction faite des crédits d’impôt, se sont chiffrés à 3 094 000 $ pour le trimestre clos le 30 novembre 2017, comparativement à 1 158 000 $ pour la période correspondante de l’exercice 2016. Comme il est décrit plus haut, la hausse des charges pour l’exercice 2017 est attribuable aux effectifs ajoutés aux équipes de liaison avec le milieu médical et d’éducation médicale sur le terrain, à la participation à un plus grand nombre de symposiums, aux travaux consultatifs d’ordre réglementaire menés en vue de la commercialisation de l’ibalizumab en Europe et à la mise au point de la nouvelle formulation F4 d’EGRIFTAMD. Les coûts associés à nos deux essais cliniques de phase IV se sont élevés à 843 000 $ pour le trimestre clos le 30 novembre 2017, comparativement à 310 000 $ pour la période correspondante de l’exercice 2016.

Les frais de vente et de développement des marchés ont atteint 7 985 000 $ pour le trimestre clos le 30 novembre 2017, contre 3 762 000 $ pour la période correspondante de l’exercice 2016. La hausse de ces frais en 2017 reflète essentiellement la croissance prévue des activités de vente et de développement des marchés, tel qu’il est indiqué plus haut. Ces activités comprennent principalement l’accroissement de notre équipe de vente aux États-Unis afin d’être prêts pour le lancement éventuel de l’ibalizumab et de couvrir un plus grand territoire, l’ajout d’effectifs aux équipes de liaison avec le milieu médical ainsi qu’aux groupes de soins intégrés et du centre d’appel, les travaux préparatoires liés à nos campagnes visant l’ibalizumab de marque ou sans marque, l’élaboration d’une stratégie de prix pour l’ibalizumab aux États-Unis et l’établissement de plans de commercialisation de l’ibalizumab en Europe.

Les frais de vente et de développement des marchés comprennent également l’amortissement de la valeur des immobilisations incorporelles établie pour les droits de commercialisation d’EGRIFTAMD. Cette charge d’amortissement s’est chiffrée à 474 000 $ pour le trimestre clos le 30 novembre 2017, comparativement à 501 000 $ pour la période correspondante de l’exercice 2016.

Les frais généraux et administratifs ont totalisé 1 591 000 $ pour le trimestre clos le 30 novembre 2017, alors qu’ils avaient totalisé 1 385 000 $ pour le trimestre correspondant de l’exercice 2016.

Les activités d’exploitation se sont soldées par une perte nette de 3 597 000 $ pour le trimestre clos le 30 novembre 2017, contre un bénéfice net de 2 094 000 $ pour la période correspondante de l’exercice 2016.

Les produits financiers, composés de produits d’intérêts, se sont établis à 94 000 $ pour le trimestre clos le 30 novembre 2017, comparativement à 24 000 $ pour la période correspondante de l’exercice 2016, en raison de la hausse des soldes de trésorerie en 2017.

Des charges financières de 713 000 $ ont été inscrites pour le trimestre clos le 30 novembre 2017, en comparaison de 1 306 000 $ pour la période correspondante de l’exercice 2016. Les charges financières inscrites pour l’exercice 2016 rendent compte d’une perte de 805 000 $ se rapportant à la variation de la juste valeur du passif au titre des bons de souscription.

Le BAIIA ajusté pour le trimestre clos le 30 novembre 2017 s’est établi à (1 887 000) $, comparativement à 2 812 000 $ pour la période correspondante de l’exercice 2016. La baisse du BAIIA ajusté pour le quatrième trimestre de l’exercice 2017 découle principalement de l’expansion décrite au préalable de notre équipe de vente et de marketing aux États-Unis, aux termes de laquelle nous avons ajouté des effectifs à nos équipes de liaison avec le milieu médical et d’éducation médicale sur le terrain, ainsi que des charges supplémentaires occasionnées par la commercialisation de l’ibalizumab aux États-Unis et en Europe. Se reporter à la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS » ci-après.

Compte tenu des variations des revenus et des charges dont il est question ci-dessus, nous avons inscrit une perte nette de 4 216 000 $, ou 0,06 $ par action, pour le trimestre clos le 30 novembre 2017, en comparaison d’un bénéfice net de 173 000 $, ou 0,00 $ par action, pour la période correspondante de l’exercice 2016.

Pour le trimestre clos le 30 novembre 2017, les activités d’exploitation ont généré des flux de trésorerie de 1 958 000 $, contre 2 688 000 $ pour la période correspondante de l’exercice 2016. L’accroissement des charges hors trésorerie en 2016 s’explique en grande partie par la hausse des charges financières susmentionnée. Toutefois, l’apport des variations des actifs et des passifs d’exploitation aux flux de trésorerie s’est établi à 4 630 000 $ pour l’exercice 2017, comparativement à 446 000 $ pour l’exercice précédent. La variation la plus importante a consisté en une augmentation de 5 080 000 $ des créditeurs et charges à payer, ce qui reflète la hausse des charges engagées dans le cours normal des activités au cours de l’exercice 2017.

Mesures financières non conformes aux IFRS

Rapprochement du bénéfice net ou de la perte nette et du bénéfice avant intérêts, impôt et amortissements ajusté (le « BAIIA ajusté »)

Le BAIIA ajusté est une mesure non conforme aux IFRS. Le tableau qui suit présente un rapprochement du BAIIA ajusté. Nous utilisons des mesures financières ajustées pour évaluer notre performance d’exploitation. La réglementation en valeurs mobilières exige que les sociétés informent les lecteurs que le résultat et toute autre mesure ajustée selon des paramètres autres que les IFRS n’ont aucun sens normalisé et qu’il est donc peu probable qu’ils soient comparables aux mesures semblables utilisées par d’autres sociétés. Par conséquent, ces mesures ne doivent pas être considérées de façon isolée. Nous utilisons le BAIIA ajusté pour mesurer notre performance d’exploitation d’une période à l’autre sans tenir compte des variations provoquées par divers ajustements pouvant fausser l’analyse des tendances à l’égard de nos activités et parce que nous croyons que cette mesure procure des renseignements utiles sur notre situation financière et nos résultats d’exploitation.

Nous parvenons au BAIIA ajusté en ajoutant au bénéfice net ou à la perte nette les produits financiers et les charges financières, les amortissements et l’impôt. Nous excluons aussi de notre calcul du BAIIA ajusté l’incidence de certaines transactions non monétaires, telles que la rémunération fondée sur des actions au titre du régime d’options d’achat d’actions et la dépréciation des stocks. Nous estimons qu’il est utile d’exclure ces éléments puisqu’ils représentent des charges hors trésorerie, qu’ils échappent au contrôle de la direction à court terme, ou qu’ils n’ont pas d’incidence sur la performance d’exploitation principale. L’exclusion de ces éléments ne signifie pas qu’ils sont nécessairement non récurrents. Les charges de rémunération fondée sur des actions sont une composante de la rémunération des employés et elles peuvent varier considérablement selon le cours des actions de la Société. De plus, d’autres éléments sans incidence sur la performance d’exploitation principale de la Société peuvent varier considérablement d’une période à l’autre. Ainsi, le BAIIA ajusté permet de mieux suivre l’évolution des résultats d’exploitation au fil du temps aux fins de leur comparaison. Il se pourrait que notre méthode de calcul du BAIIA ajusté soit différente de celle utilisée par d’autres sociétés.

 
BAIIA ajusté
(en milliers de dollars canadiens)
 
Trimestres
clos les
30 novembre

Exercices
clos les
30 novembre
 
  2017 2016 2017 2016 2015
  $ $ $ $ $
Bénéfice net (perte nette) (4 216) 173  (18 450) 410 1 571
           
Ajouter (déduire) :          
Amortissements 480 587 1 992 2 108 1 917
Charges financières 713 1 306 7 690 2 993 2 294
Produits financiers (94) (24) (338) (104) (289)
Rémunération fondée sur des actions au titre du régime d’options d’achat d’actions 194 131 1 015 563 148
Charge d’impôt sur le résultat 0 639 0 639 569
Dépréciation des stocks 1 036 0 1 144 (36) 229
BAIIA ajusté (1 887) 2 812 (6 947) 6 573 6 439
           

Détails sur la conférence téléphonique

Une conférence téléphonique aura lieu aujourd’hui à compter de 8 h 30 (HE) pour discuter des résultats. Les analystes financiers seront invités à poser des questions lors de la conférence téléphonique. Les membres des médias et autres personnes intéressées sont invités à la conférence à titre d’auditeurs uniquement.

Pour accéder à la conférence téléphonique, veuillez composer le 1-877-223-4471 (Amérique du Nord) ou le 1-647-788-4922 (international). L’appel sera également accessible par webdiffusion au http://www.gowebcasting.com/9142. L’enregistrement audio de cette conférence sera disponible à compter de deux heures après la fin de la conférence, et ce, jusqu’au 21 février 2018, au 1-800-585-8367 (Amérique du Nord) ou au 1-416-621-4642 (international) en saisissant le code d’accès 7274308.

À propos de Theratechnologies

Theratechnologies (TSX:TH) est une société pharmaceutique spécialisée répondant à des besoins médicaux non satisfaits en vue de promouvoir auprès des patients infectés par le VIH un mode de vie sain et une qualité de vie améliorée. D’autres renseignements sur Theratechnologies sont disponibles sur le site Web de la Société au www.theratech.com et sur SEDAR au www.sedar.com.

Information prospective

Le présent communiqué de presse renferme des énoncés prospectifs et de l’information prospective (collectivement, les « énoncés prospectifs ») au sens de la législation applicable en valeurs mobilières. Ces énoncés prospectifs reposent sur les opinions et les hypothèses de la direction ou sur l’information disponible à la date où ils sont formulés et se reconnaissent à l’emploi de mots tels que « peut », « va », « pourrait », « voudrait », « devrait », « perspectives », « croit », « planifie », « envisage », « prévoit », « s’attend » et « estime » ou la forme négative de ces termes ou des variations de ceux-ci. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué de presse comprennent, sans toutefois s’y limiter, des énoncés portant sur les revenus que nous prévoyons tirer d’EGRIFTAMD, sur l’approbation de l’ibalizumab par la FDA et sur le lancement de l’ibalizumab.

Les énoncés prospectifs sont fondés sur un certain nombre d’hypothèses, notamment celles voulant que les ventes d’EGRIFTAMD continueront d’augmenter, que la FDA n’émettra pas d’ordonnance ou ne rendra pas de décision défavorable sur la commercialisation d’EGRIFTAMD aux États-Unis, que la FDA approuvera l’ibalizumab, que l’ibalizumab sera accepté par les patients et les médecins (s’il est approuvé), et que notre infrastructure commerciale sera adéquate aux fins de la mise en marché de l’ibalizumab aux États-Unis (s’il est approuvé).

Les énoncés prospectifs sont assujettis à plusieurs risques et incertitudes, dont bon nombre sont indépendants de notre volonté et sont susceptibles d’entraîner un écart considérable entre les résultats réels et ceux qui sont exprimés, expressément ou implicitement, dans les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse. Ces risques s’entendent notamment d’une baisse des ventes d’EGRIFTAMD au cours de l’exercice 2018, d’un rappel d’EGRIFTAMD, d’une ordonnance ou d’une décision de la FDA ayant une incidence négative sur la commercialisation d’EGRIFTAMD, de la non-approbation de l’ibalizumab par la FDA et, même en cas d’approbation, de notre incapacité de mener à bien le lancement de l’ibalizumab.

Les investisseurs éventuels sont priés de se reporter à la rubrique « Facteurs de risque » de notre notice annuelle datée du 6 février 2018 pour connaître les autres risques et incertitudes liés à nos activités. Le lecteur est prié d’examiner ces risques et incertitudes attentivement et de ne pas se fier indûment aux énoncés prospectifs. Les énoncés prospectifs reflètent les attentes actuelles concernant des événements futurs. Ils ne sont valables qu’à la date du présent communiqué de presse et traduisent nos attentes à cette date.

Nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à réviser l’information contenue dans ce communiqué de presse, que ce soit à la suite de l’obtention de nouveaux renseignements, à la suite de nouveaux événements ou circonstances ou pour toute autre raison que ce soit, sauf si les lois en vigueur l’exigent.

Personne-ressource :
Denis Boucher
Vice-président, Communications et Affaires corporatives
514-336-7800, poste 236